Rhythm Paradise Megamix [Preview]

Le retour du Rhythm !

Pas toujours facile de se renvoyer la balle en rythme !

Initialement sortie sur Gameboy avdance en 2006, nous n’avions jamais eu l’occasion, pauvres européens que nous sommes, de profiter du premier titre de la série. L’épisode DS de 2008 nous était parvenu, avec un doublage français, certes, mais décevant. En 2012, Beat the Beat : Rhythm Paradise sortait sur Wii, un épisode acclamé par les adeptes comme les nouveaux conquis, mais cette fois sans les voix françaises et c’était tant mieux. Cette année, rebelote sur 3DS : on prend les mêmes et on recommence.

Ah zut, j’ai perdu le Rhythm !

Un défi spécial !

N’y allons pas par quatre chemins : ce jeu n’est pas pour ceux qui cherchent une histoire extrêmement bien ficelée avec moult rebondissements. Ni à ceux qui adorent les gameplay complexes utilisant seize boutons et soixante-quatre combinaisons. Non. Ici, vous avec une histoire mignonette servant de contexte (qui, si parfois rigolote, est plutôt inutile) pour lancer pleins de petits défis qui vont vous prendre cinq minutes chacun. Le gameplay ? généralement il s’agira d’appuyer sur une touche. Parfois deux. L’intérêt ? Le rythme. En effet, les défis qui vous sont proposés mettront à rude épreuve votre sens du rythme et votre concentration. N’essayez pas de jouer dans le bus ou à l’anniversaire de votre bien-aimé(e). Le calme, la concentration, et le rythme sont les maîtres mots. En somme, il s’agit d’un moyen rigolo de déstresser chez soi, avant de s’endormir notamment. À moins que ça vous énerve si vous n’avez pas l’oreille musicale…

Et à la longue ?

Certains défis sont rigolos !

Le jeu vise un public large avec une difficulté à la portée de tous. Il pourra ainsi plaire autant à ceux qui le découvre qu’aux afficionados ayant finis les jeux précédents à 100%. Ils trouveront de nouveaux défis, et pourront apprécier en retrouver certains des vieux épisodes avec plaisir. Le grand plus de cet épisode semble être le multi, à quatre, avec un seul jeu ! À voir si à la longue, on ne s’en lasse pas.