Signification et secrets des logos de Final FantasyCapsule Technique


SIGNIFICATIONS ET SECRETS DES LOGOS FINAL FANTASY
Si chaque itération de jeux vidéo Final Fantasy a son propre logo, ce n’est pas pour rien. Ils ont tous une signification précise et regorgent de secrets.
Tous les fans de Final Fantasy dignes de ce nom le savent : chaque jeu est unique. Que ce soit par ses personnages, son univers, ses mécaniques de gameplay, ses musiques et surtout son histoire, chaque épisode de la saga culte de RPG créé par Hironobu Sakaguchi a su transporter les joueurs et leur faire vivre des émotions fortes. Une fois qu’on a dit ça, il ne faut pas oublier qu’avant même de se dévoiler manette en main, l’élément premier qui cristallise l’ADN d’un épisode de FF, c’est son logo.
Véritables porte-étendards de chaque opus, les logos des Final Fantasy sont des œuvres d’art à part entière. Historiquement, ils ont été désigné par Monsieur Yoshitaka Amano, un artiste de Square Enix également à l’origine du design de nombreux monstres et personnages de la saga. Pourquoi ces logos sont ils si marquants ? Simplement parce qu’ils racontent des choses avant même que nous ayons eu le temps de toucher la manette.

Amano n’a pas seulement dessiné les logos, mais aussi de nombreux personnages de la saga Final Fantasy !
Les logos de FF cachent aussi de nombreux secrets qui peuvent s’avérer être de subtils indices destinés à nous mettre sur la voie quant à ce que le jeu nous réserve. Et puisque Final Fantasy XVI est enfin sorti, c’est tout ça que nous allons vous livrer aujourd’hui. Allez, enfourchez vos chocobos et embarquez avec nous pour une rétrospective pleine de surprises.
LES LOGOS FINAL FANTASY : TOUTE UNE HISTOIRE
Final Fantasy 1 : Classique, le logo par lequel tout a commencé. Il représente le guerrier de la lumière dans sa position de combat. Il est l’un des personnages emblématiques censé ramener la paix dans le monde en restaurant l’équilibre des cristaux. Il est bleu foncé pour symboliser l’éclat bleuté de ces derniers. Peut-être avez-vous également remarqué le dragon dans le dos du héros. Celui-ci est en fait Bahamut qui dans le jeu est celui qui fait passer notre héros de guerrier à guerrier de la lumière. Parce que changer de classe, c’est la classe. Les symboles restent les mêmes pour la refonte du logo du remake sur PSP.
Final Fantasy II : Après le héros du premier opus, celui du deuxième jeu prend le joueur à contre-pied en donnant la vedette à l’empereur Palamécia, l’antagoniste principal du jeu, tout en sobriété. La couleur violette/mauve peut ainsi faire penser à de la corruption, le poison, la force obscure, en opposition avec la lumière bleue du premier logo. La refonte du logo pour la version PSP illustre toujours le despote, mais avec plus de détails. On peut notamment voir sa cape et ses mains qui témoignent de sa maîtrise de la magie.
Final Fantasy III : Cette fois, le personnage principal, Luneth, est à l’honneur. Notre nouveau guerrier de la lumière fend le vent avec ses deux épées et la cape au vent. Si la couleur bleue peut une fois de plus faire penser à la pureté des cristaux, la couleur verte qui se mélange au logo s’apparente sans aucun doute à l’élément air, celui rattaché au cristal de notre protagoniste.
Final Fantasy IV : Chose surprenante ici, le personnage principal Cecil n’est pas représenté. A sa place, on retrouve Kain , le chevalier dragon, son rival et l’anti-héros de cet épisode. Personnage pilier de cette aventure, il est montré dans une position hyper classieuse qui restera celle des chevaliers dragons dans tous les autres épisodes de la série. Sans parler de la position de ses jambes qui forment un 4, il arbore une couleur mauve dégradée, symbole de son ambiguïté. Le fait qu’il soit mis en lumière sur le logo à la place du héros principal du jeu en dit long sur son importance et son intérêt pour l’intrigue.
Le deuxième logo de FFIV est bien différent et illustre cette fois le remake sorti sur Nintendo DS en 2007. Là encore, ce n’est pas Cecil qui est représenté, mais Golbez, l’ennemi principal du jeu. Il apparaît en violet avec des teintes similaires à Kane sur le logo initial. Cette affiliation permet d’affirmer avant même de jouer au jeu que les deux personnages sont liés d’une manière ou d’une autre. Il vous faudra jouer pour savoir de quoi il en retourne.
Final Fantasy IV : The After Years : comme le laisse supposer le titre, nous sommes là en présence de la suite directe de FF IV sur PSP. Le logo de ce jeu dans lequel on contrôle Céodore Harvey, le fils de Cécil et Rosa reprend les couleurs violacées du jeu original, mais ne met cette fois en vedette aucun personnage. A la place, une y voit deux lunes, des astres très liés à l’histoire du jeu. La première est évidemment celle du jeu précédent tandis que la seconde qui apparaît dans ce jeu, est le principal mystère de l’intrigue. En plus d’influencer directement l’histoire du jeu, les différentes phases de la lune vont jusqu’à modifier les mécanismes du jeu. Avec une telle importance affichée, on comprend pourquoi ces deux lunes illustrent le logo.
Final Fantasy V : Pas de doute ici, le logo affiche un dragon, plus précisément un dragon du vent, ou Wind Drake. Plus précisément, ce dragon est celui du père de Lenna qui n’est autre que le roi gardien du cristal de l’air. C’est cette même créature qui reviendra à notre groupe de héros et qui leur servira de monture pour explorer la carte du monde.
Final Fantasy VI : Et si je vous disais que le logo de FFVI spoilait complètement l’un des plot twists les plus marquants du jeu ? (ATTENTION SPOILER !)
Pour la simple et bonne raison qu’on y voit Terra, l’héroïne principale du jeu piloter une armure Magitek. Dit comme ça, ça semble anodin, sauf que le jeu nous apprend plus tard que cette jeune fille est une demi-Esper maîtrisant la magie. Elle est alors enlevée par l’Empire et manipulée par la force d’un appareil de contrôle mental et se sert d’elle pour augmenter encore plus leur stock de magie. Et c’est justement sous l’influence de l’Empire avide de magie qu’elle pilote le Magitek. Son triste destin était dès le départ juste sous nos yeux…
Final Fantasy VII : l’épisode le plus culte de la saga puisqu’il est le premier à être arrivé en Europe. Son logo représente le Météore, cette manifestation de magie de destruction ultime invoquée par Sephiroth pour détruire la planète. Les teintes vertes du logo font irrémédiablement penser à la couleur de l’énergie Mako, le flux vital de la planète qui circule dans la Rivière de la Vie, tandis que le bleu représente la couleur de la magie blanche destinée à l’anéantir. Le noir présent sur le haut du logo ainsi que la sphère à proximité font écho à la materia noire nécessaire pour matérialiser le météore.
Final Fantasy VII : Advent Children : Il reprend le logo de Final Fantasy VII original en le modernisant. Petit subtilité néanmoins, le cœur du Météore laisse entrevoir la cité Mako de Migar complétement détruite. Le logo suffit à montrer les dégâts que l’astéroïde a causé et témoigne de la volonté de reconstruction qui en résulte. Les chiffres présents derrière lui illustre les voies qui vont de Midgar jusqu’à Edge, la nouvelle mégalaopole construite après le désastre.

Le logo de Final Fantasy VII : Before Crisis
Before Crisis : pas de sens caché ici. Le logo nous présente deux personnages issus des Turks, les agents du département d’investigation et des affaires générales (ou Département des recherches administratives puisque le jeu nous raconte leur histoire.

Le logo de Final Fantasy VII : Dirge of Cerberus
Dirge of Cerberus : La couleur rouge et les trois gargouilles du logo illustrent le médaillon de la winchester de Vincent Valentine, le héros de ce spin-off en mode Action / TPS.
Crisis Core : le logo est habillé d’un ciel gris bleu. Une manière implicite et subtile de dire que le ciel et les ailes auront un rôle impactant dans ce préquel de FFVII original. Là encore, impossible de trop en dire sous peine de vous spoiler des éléments majeurs de l’intrigue qui ne manquerait pas de gâcher votre expérience de jeu. D’autant que vous n’avez aucune raisons de ne pas le faire puisque son remaster, Crisis Core Reunion est sorti en 2022 sur toutes les plateformes.
The First Soldier : le battle royal dans l’univers de Final Fantasy VII a beau avoir été définitivement abandonné par Square Enix faute de public, son logo a au moins le mérite de raconter quelque chose. Non-content d’afficher le logo de la Shinra, il représente surtout Midgar en construction. Dans un jeu qui était supposé nous en dire plus sur le passé et la montée en puissance de la compagnie, on ne pouvait pas être plus explicite. Dommage que les promesses n’aient pas été tenues.

Le logo de Final Fantasy VII : Remake
Final Fantasy VII : Remake : Même logo que l’original avec un côté 3D et streampunk plus prononcé. Un signe de renouveau en somme, voire même d’un chamboulement total de l’histoire originale comme le laisse supposer certains éléments de l’intrigue. Des changements qui seront au cœur des enjeux de sa suite qui sortira début 2024, Final Fantasy VII : Rebirth.
Final Fantasy VIII : Beaucoup s’accordent à dire que Tidus et Yuna dans FFX incarnent la plus belle histoire d’amour tout FF confondus, mais n’oublions pas pour autant le duo Squall & Linoa du huitième opus. Si leur romance est suggérée dès l’emblématique opening du jeu, dans le récit, elle ne se dévoile qu’à la toute fin de l‘intrigue. L’amour sincère se reflète entre ces deux êtres et la façon dont elle est représentée dans le logo rend ce sentiment encore plus beau.
Final Fantasy IX : Ce logo illustre un cristal d’or. Celui-ci est très important dans le lore du jeu puisque c’est à partir de lui que les âmes prennent naissance et s’éteignent. C’est aussi une volonté affichée de Square Enix de revenir aux fondamentaux de sa licence basée sur les cristaux. C’était tellement important pour eux qu’à l’époque de sa sortie, FFIX était annoncé avec le slogan « The Crystal Comes Back ».
Final Fantasy X : Square Enix aurait pu suivre la logique de FF VIII avec Squall et Linoa, mais ils ont fait mieux. Le logo de FFX met en scène Yuna, la véritable héroïne du jeu. Invokeur chargée dans l’histoire du jeu d’envoyer dans l’au-delà les âmes des défunts qui n’ont pas accepté leur mort. Cela afin d’éviter qu’ils se perdent dans les limbes et se transforment en monstre.
Pour y parvenir, elle exerce une danse rituelle et c’est cette danse qui est magnifiquement représentée sur le logo. Plus spécifiquement, ce dernier reprend une scène marquante du jeu, à savoir la cérémonie de l’île de Kilika après que le village ait été attaqué et dévasté par Sin.
Final Fantasy X-2 : Très classique celui-ci, il représente simplement le trio d’héroïnes du jeu avec leurs armes respectives, à savoir Yuna, Rikku et Paine. Je ne vais pas m’éterniser sur le développement des personnages de cet opus, au risque de devenir vulgaire.
Final Fantasy XI : Premier jeu massivement multijoueur en ligne de la licence, FFXI nous permet d’incarner cinq races différentes : les Elvaans, les Galkas, les Humes, les Mithras et les Tarutarus. Afin de leur rendre hommage à armes égales, elles sont toutes représentées sur le logo, entourées d’une large armée. MMO oblige, en plus de représenter une infinité de joueurs, les persos en arrière-plan mettent en scène tous les jobs qu’il est possible de pratiquer à Vana’diel. Comprenez par là que le jeu a réussi la prouesse de présenter l’intégralité de son univers sur un seul logo. Sa couleur bleue fait bien évidemment une nouvelle fois référence à l’éclat des cristaux, élément central dans l’histoire du jeu.
Final Fantasy XII : Ce logo représente le juge Gabranth, l’un des juges, ces troupes spéciales d’Archadia chargées de maintenir la loi de l’empire dans les pays conquis. Il est aussi le frère jumeau de Basch fon Ronsenburg, l’un des personnages principaux en plus d’être l’un des antagonistes phares de jeu. Quand bien même il figure sur le logo, ce n’est pas lui le méchant principal. Il n’empêche que cette place de porte-étendard en dit long sur son importance dans l’intrigue. Par son charisme et son histoire, il incarne à lui seul toute la complexité et l’aura de FFXII. Néanmoins, le secret le plus dingue de ce logo, c’est qu’en le retournant à 90 degrés, il révèle la tête et le visage d’un juge.

Le logo de Final Fantasy XII : Revenant Wings
Final Fantasy XII Revenant Wing : La suite directe de FFXII sur DS. Le bas du logo représente le vaisseau de Vaan et de Penelo qui leur sert de moyen de transport aérien. Le haut quant à lui représente une Aegyls, la nouvelle race et peuple principal de ce jeu. Ils ressemblent aux humains, excepté le fait qu’ils disposent d’une magnifique aile toute déployée dans ce logo. Comprenez par là que c’est le voyage qui mènera notre troupe à la découverte de ce peuple mystérieux originaire de Lémurés : le continent flottant.
Final Fantasy XIII : Attention, là encore, ce logo contient des spoilers puisqu’il représente la fin du jeu. Donc si vous ne l’avez pas encore fait et que vous fuyez les spoilers comme la peste, je vous déconseille de lire le paragraphe suivant.
La grande partie ronde du logo représente Cocoon, le continent volant de Gran Pulse. Au-dessus, on peut voir deux figures féminines, représentations de Fang et de Vanille. Un peu en dessous, on discerne un dragon à l’envers enlaçant Cocoon et encore en dessous, le pilier de cristal qui prend une forme du pendentif de Serah.
Que signifie donc cet amalgame d’éléments ? À la fin du jeu, après avoir tué le supposé dieu protecteur de Cocoon, le continent s’effondre et dans sa chute, s’apprête à mettre fin à des millions de vies. Pour éviter l’extinction d’une civilisation entière, Fang et Vanille se transforment alors en Ragnarok, le dieu dragon, symbole de la fin du monde. Mais puisqu’elles avaient le cœur pur, les filles décident de sauver tout le monde en se sacrifiant. En véritables héroïnes, elles vont se cristallier et former un pilier qui empêchera d’entrer en collision avec le monde d’en bas.
Final Fantasy XIII-2 : Moins complexe que le précédent, ce logo représente simplement Lightning, héroïne principale du premier jeu et Caius, l’antagoniste vedette de cette suite. Un choix étonnant dans la mesure où cette suite se focalise sur Serah et Noel plutôt que sur Lightning. Ce logo illuste la rivalité entre les deux personnages et témoigne du rôle de Lightning qui protège une déesse dans l’ombre pendant que sa jeune sœur se dresse contre son ennemi pour réparer les chronologies.
La colorimétrie prend ici tout son sens puisque le rose est la couleur prédominante chez Lightning. De son côté, Caius arbore une couleur violette en lien avec ses cheveux, certains détails de son armure et surtout sa transformation en Chaos Bahamut, est un dragon violet exceptionnel.

Le logo de Final Fantasy XIII : Lightning Returns
Final Fantasy XIII : Lightning Returns : Pas de véritable logo pour ce spin-off malheureusement. Son symbole représente tout simplement l’éclair et le cristal, en lien avec le pendentif de Lightning. C’est le signe qui fait d’elle une chevalière de Bhunivelze, un dieu ayant confié à Lightning la mission de sauver le plus d’âmes possible en 13 jours.
Final Fantasy XIV : A l’instar de Final Fantasy XI, le premier logo de FFXIV illustre l’intégralité de son univers via la diversité des personnages, races et classes offertes par le MMORPG. Il met aussi en avant le regroupement, la pluralité et le côté multi du jeu. Les races qui peuplent Éorzéa sont les suivantes : les Hyurs, les Miqo’tes, les Élézens, les Roegadyns et les Lalafells. On retrouve quand même au centre du logo celui qui s’avèrera être le héros.
Final Fantasy XIV A Realm Reborn : Pour Realm Reborn, la version 2.0 de FFXIV, pas de grands changements notables au niveau du logo, même si paradoxalement, le jeu lui-même aura subi une refonte totale pour corriger ses défauts et améliorer sa stabilité. C’est le même logo aux couleurs bleutées, signe que l’on revient aux origines du cristal. À noter aussi que le O du Reborn est en forme de météore, ce fléau qui détruit le « premier monde » de FFXIV, pour laisser place à la version 2.0, le monde ressuscité et sublimé de FF XIV.
Final Fantasy XIV Heavenward : Contrairement à FFXI dont les extensions n’ont pas de logos, le XIV en regorge et ce à chaque nouvelle itération. Pour cette première, Heavenward, on nous présente le dragon originel Midgardsormr en train d’affronter des chevaliers dragons dans l’enceinte de la cité d’Ishgard. Rien d’étonnant ici puisque le but de cette extension est de mettre fin à la guerre entre les Dragons et les Chevaliers Dragons. CQFD. À noter qu’on voit aussi des hérétiques qui combattent du côté de Midgardsormr qui crache des flammes.
Final Fantasy XIV Stormblood : ici pas de chichi, on entre directement dans le feu de l’action avec des héros debout déployant un drapeau, symbole d’une révolution. Le fait que cette scène soit encadrée par une flamme est un signe que l’intrigue de cette extension à savoir la libération d’Ala-Mhigo, l’une des cités-États conquises par l’Empire Garlean, se fera dans la guerre et dans le sang. Ce logo met bien sûr en évidence les personnages clefs du récit, à savoir Lyse et Raubahn, mais également notre personnage habillé en moine, l’un des jobs les plus remarquables de cette extension.
Final Fantasy XIV Shadowbringers : Simple et efficace, le logo représente notre personnage nommé Meteor (décidément, on aime bien ce nom chez Square Enix) habillé en chevalier noir. Il représente magnifiquement le côté dark du protagoniste qui, on le rappelle, bien qu’il soit né Warrior of Light, rejoint l’armée des ténèbres pour vaincre celle de la lumière.
Final Fantasy XIV Endwalker : la dernière extension de Final Fantasy XIV sortie à ce jour. Son logo affiche le nouveau vaisseau arrivé avec elle qui se dirige droit vers la lune. Le lien avec les astres lunaires de Final Fantasy IV semble évident.
Final Fantasy XV : On voit sur ce logo un oracle révéré plongé dans un profond sommeil. Ces êtres mystiques et supérieurs ont la capacité de parler aux dieux dans le but de maintenir l’équilibre d’Eos, le monde de FFXV. Au fur et à mesure que le jeu avance, on s’aperçoit que l’oracle en question n’est autre que Lunafreya, l’un des personnages clef de l’intrigue. Dans l’histoire du jeu, c’est elle qui est chargée de solliciter les pouvoirs de Léviathan au péril de sa vie, l’Hydréenne étant d’ailleurs présente à ses côtés sur le logo.
Petite subtilité de ce dernier par ailleurs : il change une fois le jeu terminé et se voit complété par Noctis. L’héritier du Lucis est assis royalement et apparaît apaisé aux côtés de sa bien-aimée.
Le logo de FinalFantasy XVI ne fait pas dans la dentelle et affiche d’entrée les éléments importants de l’intrigue. Il met en scène l’affrontement épique entre les deux éternels ennemis du feu, Phénix et Ifrit. Tous les deux sont des primordiaux (ou Eikons), à savoir les entités les plus puissantes du monde de Valisthéa. Chacun d’eux résident dans le corps de mortels appelés Émissaires. Ces hommes héritent alors du pouvoir de prendre la forme et de contrôler le pouvoir des Primordiaux en question. Alors que tout le monde s’attendait à ce que Clive, le personnage principal incarné par le joueur se révèle être l‘Émissaire de Phénix, le destin a voulu que ce soit son frère cadet, Joshua, qui hérite de cette responsabilité. Nul doute que les intérêts divergeant entre Ifrit, Phénix et leurs émissaires respectifs seront au cœur de ce nouveau récit.
Et vous, quel est votre logo Final Fantasy préféré ? Pour encore plus de culture sur Final Fantasy, découvrez aussi l’origine du nom Final Fantasy, une légende urbaine plutôt tenace.